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C'était aussi notre dernière chance : comme elle l'a elle-même annoncé, à l'issue de cette « Fare Thee Well Tour », sa tournée d'adieux, elle ne donnera plus de concerts dans de grandes enceintes. Elle nous a laissé un excellent souvenir. A son répertoire impérissable, elle a ajouté des clins d'œil au public local, comme le Txoria Txori de Mikel Laboa et l'hymne No nos moverán. Elle a fait ses adieux avec Fare The Well, qui, traduit librement veut dire : « bonne chance dans l’avenir ». Et, plus librement encore, « au revoir, Joan, et bon vent! … » Jamie Cullum n'est pas encore un mythe. Trop jeune pour l'être, mais s'il poursuit cette trajectoire impeccable, il le sera assurément dans trente ans !À Saint-Sébastien, il est déjà une idole. Tous ses concerts dans notre ville ont toujours été magnifiques. Et celui d'hier n’était pas en reste ! Jamie Cullum a attiré 53 000 personnes, les a mises dans sa poche dès la première minute et ne les a plus lâchées pendant deux heures. 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Jamie-Cullum

Tout est prêt pour le Festival, qui se déroulera à Saint-Sébastien du 24 au 28 juillet, avec 100 concerts sur 15 scènes, dont plus des deux tiers seront gratuits.

John Zorn recevra le prix Donostiako Jazzaldia 2019 Le 54e Heineken Jazzaldia se déroulera à Saint-Sébastien du 24 au 28 juillet avec un programme de 100 concerts, dont plus des deux tiers seront gratuits pour le public, sur 15 scènes différentes. L'an dernier, le Festival a attiré 171 500 spectateurs dans ses différents lieux, dont la plage de la Zurriola, l'Auditorium Kursaal, la Place de la Trinidad et le Théâtre Victoria Eugenia, qui sont tous des lieux très emblématiques dans la ville. 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Ni Neu proposera du Riz Jambalaya créole-basque : adaptation par son chef Mikel Gallo de la Jambalaya, un plat typique de la Nouvelle-Orléans, berceau du jazz. Il est composé de riz, de légumes et de viande, avec une touche épicée. Il proposera également sa gamme habituelle de sandwichs à base d'ingrédients sélectionnés. Quant à Topa, Jordi Bross et son équipe prépareront 3 types de tacos talos : chipiron (calamar) à la Pelayo accompagné d’un mole (sauce), txerri-txiki pibil (cochon de lait) et « lézard » ibérique (porc) avec sa sauce huancaína. Il y aura la possibilité de choisir un Taco Talo Mix à un prix spécial, afin de pouvoir déguster les 3 tacos talos. Ils offriront également leurs Micheladas classiques, des cocktails de bières au citron vert, aux notes piquantes. 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Compositeur et instrumentiste, John Zorn est le catalyseur d'une scène d'avant-garde dans laquelle s'inscrivent aujourd'hui des centaines d’excellents musiciens qui comptent dans le jazz actuel. Le jazz qui se fait aujourd'hui à New York ne peut pas se concevoir sans l'intervention de certains des musiciens qui évoluent dans l'orbite de Zorn. John Zorn reviendra au Heineken Jazzaldia, après le succès incontestable obtenu en 2013, avec son Masada Marathon. À cette occasion, il sera à la tête du Bagatelles Marathon, divisé en deux sessions d'après-midi à l'auditorium Kursaal, l'une le 27 juillet et l'autre le 28 juillet. Zorn recevra le Prix Donostiako Jazzaldia le dimanche 28 juillet à 17h00 sur scène, avant d’entamer son second concert. Ce marathon musical se présente sous la forme de 14 groupes différents qui interprèteront plus de 50 compositions de The Bagatelles, le nouveau livre de musique extensif de John Zorn. 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Nous sommes maintenant à l'ère d’une Zahara rockeuse, qui dirige un groupe très efficace pour interpréter ses nouvelles compositions. La Zahara intime charmait l'auditeur, la Zahara rockeuse le transporte. Ses nombreux inconditionnels l'ont acclamée sur la Scène Verte. Ensuite, la Scène Verte a accueilli le groupe barcelonais Dorian, devenu l'un des ensembles de référence de la scène musicale espagnole. Ce groupe a réussi a réussi une carrière internationale en évoluant entre la musique new wave et l’électronique. Son spectacle est puissant d'un point de vue musical et esthétique, et le public massé sur la plage a été plus que satisfait. Une journée impeccable qui, sans la pluie, aurait été une apothéose. Quelques concerts sur les terrasses du Kursaal ont dû être suspendus, mais l'essentiel du programme s'est déroulé normalement et aussi bien la Trinidad que la Scène Verte ont fonctionné parfaitement sans parler, bien évidemment, des espaces fermés comme le Victoria Eugenia, le Kursaal et San Telmo où Paul San Martin et Lluís Coloma ont offert un intense duo de pianos.   [post_title] => Jazzons sous la pluie [post_excerpt] => À 20h une bonne tempête s’est abattue sur Saint-Sébastien. À 21h, la pluie s'est arrêtée et le concert sur la Plaza de la Trinidad a pu commencer à l'heure, comme toujours, au moment où les cloches de l'horloge de la Basilique de Santa María ont retenti. La place était pleine, le public protégé par les imperméables distribués par l'organisation. 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Author: jazzaldia

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À 20h une bonne tempête s’est abattue sur Saint-Sébastien. À 21h, la pluie s’est arrêtée et le concert sur la Plaza de la Trinidad a pu commencer à l’heure, comme toujours, au moment où les cloches de l’horloge de la Basilique de Santa María ont retenti. La place était pleine, le public protégé par les imperméables distribués par l’organisation.

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